Navidad: X Mercadillo Artesanal Navideño

X MERCADILLO ARTESANAL NAVIDEÑO

El sábado 2 de diciembre, te esperamos a partir de las 11 de la mañana, en el Parque Blas Infante para disfrutar de una jornada festiva y de convivencia.
🎁 Realiza tus compras navideñas
🎨 A partir de las 12 de la mañana TALLERES INFANTILES de pintura y pintacaras
🌠 A la 1 del mediodía, inauguración del PORTAL de BELÉN GIGANTE de Mª Dolores Guerra Roldán.
💃 A las 7 y media de la tarde, Primera Zambomba Flamenca “Doñana Canta la Navidad”.
🎉Durante toda la jornada se podrá realizar compras en los puestos, divertirse en el colchón hinchable y en las camas elásticas, comer palomitas, algodón de azúcar, buñuelos, castañas asadas...

Date de début

sam, 02 de déc de 2023

Date de fin

sam, 02 de déc de 2023

Etiquetas

Navidad

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Carte de la région

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Coordeonnées

37.353736712121, -4.9927673

Addresse

Parque Blas Infante

Localidad

El Rubio

Distance de Séville

107.00 Km

Dernières visites

Théâtres

Théâtre Cerezo

Le Théâtre Cerezo, surnommé Théâtre de l’art, est le bâtiment des années 1930 le plus représentatif de la commune. À l’intérieur, la salle surprend le spectateur de par ses dimensions, notamment au dernier étage où le poulailler surplombe le parterre. Les décorations d’origine du plafond avec de grandes rosaces ont été conservées. Le Théâtre Cerezo, où l’on observe des éléments inspirés de l'art nouveau et de la sécession viennoise, est l’œuvre d’un prestigieux architecte qui se distingue par son éclectisme, Julián Otamendi, qui dans ce cas a également travaillé avec José Enrique Marrero entre 1931 et 1934. Le projet a été promu par un particulier, Bernardo Enrique Cerezo, qui a en partie financé sa construction grâce à un prix de loterie qu’il a remporté. Aujourd’hui le théâtre accueille tous les ans le concours de troupes carnavalesques, en plus des pièces de théâtre et des films qui peuvent y être vus.

Monuments

Dolmen de la Lapa del Moro

À l’époque mégalithique, il y avait un petit village et une nécropole composée de quatorze tombes à l’est du bourg actuel. Les tombes étaient alignées le long de la rivière Guadiamar et de ruisseaux des environs sur environ neuf kilomètres. Le petit village de Las Cañadillas se trouve à 6 kilomètres de Castillo de las Guardas en direction d’Aznalcóllar. Depuis les premières maisons, on peut voir des rocailles presque au sommet de la colline. Le dolmen se trouve environ 200 mètres plus haut, à moitié caché dans les buissons et à quelques mètres seulement du muret en pierre. Il n'est pas facile à trouver et il est difficile d’y accéder mais il est conservé en bon état. Il s’agit d’un dolmen entièrement dépouillé qui a été conservé parce qu’il se trouve à un endroit peu accessible et non exploité par l’homme. Le tumulus, qui mesure 20 mètres de diamètre et 2,50 mètres de haut, fut amassé pour construire le dolmen qui est composé d’une galerie trapézoïdale de 1,50 mètre de long. L’entrée de la galerie est fermée par deux dalles d’ardoise alors que la chambre n’est protégée que par une seule dalle. Il s’agit donc d’un mégalithe de l’âge du cuivre. En outre, non loin du premier dolmen, on en trouve un autre plus petit qui est détruit ou caché dans les buissons. Ce deuxième dolmen se trouve plus précisément sur le domaine d’El Caballero, près de El Pedrosillo (à environ 5 kilomètres au sud-est de Castillo de las Guardas). D’autres dolmens dans différents états de conservation ont été retrouvés dans les environs comme le Dolmen del Rancho del Marqués et le dolmen Cista del Rancho del Marqués, sur le domaine du même nom (PK 54 sur la nationale de Séville à Mérida, vers la route de La Alcornocosa) ou encore le Dolmen de los Parrones, sur le domaine Los Parrones (PK 55,5 de la nationale Séville-Mérida).

Monuments

Couvent des Descalzas

Il existe actuellement une congrégation de religieuses de l’ordre des Augustins déchaussés récollets. Ce couvent fut fondé en 1629 frauduleusement, contre la volonté du chapitre de Carmona. Malgré cela, il fut inauguré en 1748 au cours d’une cérémonie solennelle. Toute la décoration de l’église témoigne du style architectural baroque caractéristique, magnifiquement illustré par le double portail de la façade et par la tour. Le retable principal inachevé est particulièrement intéressant, tout comme le tabernacle de la sacristie en bois polychrome. Dans le passé, les processions de Notre-Dame de Grâce entraient par le portail de droite et sortaient par celui de gauche, passant devant le chœur où les religieuses chantaient pour l’occasion. Classé bien d’intérêt culturel depuis 2005 (Journal officiel du Gouvernement andalou nº 62 du 31 mars 2005).

Plans recommandés

Allier le patrimoine historique et la tradition à travers les routes des châteaux de la province de Séville

À l’époque musulmane, la défense d’Al-Andalus est devenue un objectif prioritaire de manière que de nombreux châteaux ont été construits à des endroits stratégiques. La plupart de ces châteaux, vieux de plus de six siècles et des témoins du Moyen Âge, furent construits par la population arabe pour se protéger des chrétiens qui luttaient pour la reconquête. Ces forteresses ou châteaux sont aujourd’hui des témoins vivants de cette époque passionnante. Les différentes routes proposées pour visiter les châteaux de la province de Séville montrent le riche patrimoine architectural et historique de ces bijoux que l’on trouve dans diverses communes de la province et qui ont été par le passé des lieux de rencontre entre les cultures, des centres de commerce et de transmission de connaissances ainsi que des enclaves de défense. En outre, ces châteaux, qui ont parfois été réformés ou reconstruits après la reconquête par les chrétiens, sont un héritage du passé musulman récent. Ainsi, cette route vous fera découvrir la ligne défensive connue sous le nom de « Bande galicienne » qui longe le nord de la province pour contrôler toute invasion depuis le royaume du Portugal, ainsi que la « Bande maure » située au sud du territoire et qui défendait la frontière avec le royaume nazari. Pour vous faire connaître toute l’offre autour de ce thème dans la province de Séville, nous vous proposons quatre routes différentes et pas trop éloignées les unes des autres en lien avec les deux lignes défensives décrites dans le paragraphe précédent : la bande galicienne et la bande maure. Profitez de cette offre en conjuguant la découverte de cet intéressant patrimoine architectural et historique avec la tradition, l’idiosyncrasie et les caractéristiques singulières de nos communes. ROUTE I : Elle traverse diverses communes du nord de la province de Séville qui appartiennent à la bande galicienne Château de La Puebla de los Infantes Ce château qui surplombe le village a été construit vers la moitié du XIVe siècle et il appartient à l’architecture chrétienne. De style gothique-mudéjar, ses murs ont été utilisés comme carrières pour la construction des maisons entre les XVIIIe et XIXe siècles. Château de Constantina Le château de Constantina se trouve dans les premiers contreforts de la Sierra Morena, là où la vallée du Guadalquivir remonte vers le plateau d’Estrémadure. Cette forteresse a conservé son plan de l’époque almoravide. L'ensemble s’articule autour d’une grande place d’armes et d’une grande citerne qui garantissait l’approvisionnement en eau de la garnison. L’entrée était protégée par le donjon, plus grand que les autres tours, qui servait à garantir la sécurité de l’entrée qui permettait d’accéder à la place d’armes. Le château fut déclaré monument d’intérêt culturel en 1985. Château d’Alanís Le château d’Alanís, situé à 98 km de la ville de Séville, est d’origine arabe. Il fut restructuré en 1392 puis attaqué par les Français pendant l'occupation napoléonienne. D’après la légende, le château serait hanté, ce qui le rend d’autant plus mystérieux et attirant, car on raconte que la jeune mauresque Acsia se promène sur les merlons et dans les couloirs. La muraille, les tours et les merlons sont en bon état bien et l’intérieur est diaphane et on y organise des activités culturelles tout au long de l'année, comme les journées médiévales. Château d’El Real de la Jara Le château d’El Real de la Jara se trouve dans la commune du même nom, au nord-ouest de la province de Séville. Le château s’élève sur une butte située au nord de la commune. La Vía de la Plata ou route de l’argent passe à moins d’un demi-kilomètre à l’est du château. Celui-ci a été construit sous l’autorisation du roi Sanche IV au conseil de Séville du 4 novembre 1294 dans le but de renforcer les frontières face à la menace du royaume du Portugal et des ordres de Santiago et du Temple. La forteresse inclut deux portes et huit tours. La porte principale est située sous le donjon et elle a été entièrement reconstruite. Actuellement, la place d’armes du château a été remise en valeur.

Monuments

Église Saint Michel

Le principal monument de Lora de Estepa est l'église paroissiale de Saint Michel. C'est un bâtiment à une seule nef, couvert d'une voûte en berceau avec des fajons, auquel un autre a été ajouté, il y a quelques années, sur son côté gauche. L'état actuel du bâtiment ne devrait pas remonter au-delà de la fin du XVIIIe siècle, bien que des réformes ultérieures puissent être détectées. Le retable principal, composé de trois rues entre les stipites, est décoré de motifs typiques du troisième tiers du XVIIIe siècle. Il y a une sculpture de Saint Michel, du même siècle, avec des images de Saint Roque, moderne, et de Saint Antoine, vers 1800, apparaissant des deux côtés. Le grenier est occupé par un petit crucifix du XVIIIe siècle. Dans la nef latérale gauche se trouve une image de Jésus de Nazareth, avec un chandelier, œuvre du sculpteur d'Antequera Diego Márquez, datée de 1788, et l'autel de la Vierge des douleurs. A la fin de cette même nef, on trouve un retable de style du deuxième tiers du XVIIIe siècle avec la Vierge du Rosaire. Sur le côté droit, il y a une image de Saint Josèphe avec l'enfant qui évoque des œuvres de Grenade du XVIIIe siècle, bien qu'elle soit repolie. Dans la sacristie, un crucifix de taille moyenne est conservé, qui a été repeint et peut être daté de la fin du XVIe siècle. La confrérie de Notre Père Jésus de Nazareth, Trèes Saint Christ de la Miséricorde et Marie Très Sainte des Douleurs, images très vénérées pendant la Semaine Sainte, a son siège canonique dans cette paroisse.

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