Feria

Séville, belle et diverse

C’est le seul exemple restant à Arahal de ces constructions semi-rurales qui sacralisaient les zones environnantes des villes andalouses, appelées ruedos. 

L'église del Dulce Nombre de Jesús (littéralement, l'église qui porte le doux nom de Jésus) est la paroisse d'Algámitas. L'édifice se compose d'une seule nef, avec des pilastres adossés qui marquent les sections. Sur le côté gauche se trouvent deux chapelles.

Situé au cœur de la ville d’Écija, le Couvent royal de Santa Inés appartient à la congrégation des Clarisses de saint François. Il fut d’abord construit en-dehors des murs de la ville et ce ne fut que plus tard qu’il fut installé à l’endroit actuel, à deux-cents pas du centre urbain, bordé par un chemin qui menait au sanctuaire de la patronne Nuestra Señora del Valle à qui il doit son nom.

Cet autel singulier, construit dans un mur de l’ancienne ville, est un des charmant recoin chargé d’histoire.

Le couvent de la Visitación de Santa Isabel (mères philipiennes) fut fondé à la fin du XVIe siècle et fut occupé par plusieurs congrégations religieuses. À l’origine, il s’agissait d’un béguinage qui s’unit à la congrégation des sœurs minimes qui prirent alors en charge le couvent.

Il s'agit du seul temple de Séville qui conserve des vestiges des trois religions. Cette ancienne mosquée devint plus tard une synagogue par privilège du roi Alphonse X (1252), avant d'être consacrée comme temple chrétien en 1391.

Le palais de San Telmo a été construit en 1682 pour accueillir le Collège du séminaire de l'Université de Mareantes. En 1849, elle devient la résidence des ducs de Montpensier, qui complètent la construction de la tour nord et construisent l'entrée (apeadero), l'aile est et la salle de bal.