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L’origine du sanctuaire remonte au début du XVIe siècle après l’obtention par Antonio Barrados du permis de construire un ermitage dédié à la Vierge de la Consolation dont la statue titulaire fut cédée par le Couvent de de Nuestra Señora de la Antigua. Le 31 mars 1561, l’Ordre des Minimes devient propriétaire de l’ermitage et c’est alors qu’on commence à construire le couvent et l’église.

Parmi les demeures seigneuriales d'Écija, le palais des comtes de Puerto Hermoso, connu comme le palais de Santaella du nom de son ancien propriétaire, se distingue comme un exemple caractéristique de l'architecture civile locale du XVIIIe siècle.

L'actuelle église du Carmen a été fondée au XVIIIe siècle sur l'ancienne chapelle du Cristo de la Sangre, qui date du XVIe siècle. On peut encore y voir des détails gothiques-mudéjars appartenant au bâtiment précédent. 

Les marquis d'Estepa ont utilisé la crypte du temple comme un panthéon noble pendant de nombreux siècles. 

L’église de Santa María de la Asunción conserve encore des traces de son origine gothique-mudéjare malgré les multiples ajouts et transformations dont elle a été l’objet jusqu’à présent. Son origine est datée entre le XIVe-XVe siècle, coïncidant avec le début de la seigneurie des Ponce de León à Mairena.

Situé dans la rue Jesús. Il s'agit d'un petit bâtiment reconstruit en 1888 d'après ce qui est inscrit sur une pierre placée sur la façade frontale.

Il possède un seul retable placé dans le chevet principal et décoré de motifs baroques, postérieurement restauré.

Le Palais des marquis de Peñaflor, construit entre 1700 et 1775, est l'un des plus beaux fleurons de l'architecture civile baroque d'Écija.

Le couvent de Las Teresas est situé dans l'ancien palais des comtes de Palma, un bâtiment mudéjar de grand intérêt, érigé aux XIVe et XVe siècles.