Rocío-Gines

Séville te fais tomber amoureux

La construction de ce bâtiment de style gothique-mudéjar date des XIIIe-XIVe siècles.

Il est recouvert d’un soubassement en azulejos sévillans correspondant à différents moments historiques du village. Il possède une seule nef en forme de T dans laquelle on distingue la chapelle baptismale, le presbytère et la sacristie.

L'église, qui appartenait à l'origine au couvent des Pères carmélites, date du XVIe siècle, mais il n'en reste que peu de vestiges appréciables en raison des profonds remaniements qu'elle a subis au XVIIIe siècle et de la reconstruction effectuée entre 1881 et 1883, qui lui ont donné un certain air néoclassique.

L’église de San Pedro, à la façade blanche et dont l’intérieur date de 1859, a récemment été rénovée (1998) grâce à l’archevêché de Séville, la mairie de Coripe et aux dons généreux des fidèles. Toutefois, elle conserve encore la coupole baroque de l’ancien édifice et l’ancienne chapelle del Carmen qui est aujourd’hui un sanctuaire.

Cette nouvelle église paroissiale a été construite en 1964 sur les vestiges de l'ancienne église, qui avait été bâtie au XVIIIe siècle. Celle-ci a dû être remplacée par un temple de style moderne et d'avant-garde, l'actuelle église paroissiale de La Purísima Concepción, construite en 1964.  

Cette confrérie d’El Rocío est née en 1933 sous l’égide de la confrérie du même nom d’Umbrete. Ce n’est que l’année suivante, en 1934, qu’elle fut parrainée par la confrérie de Gines, pour être rattachée à la confrérie mère comme dix-huitième filiale dans l’ordre d’ancienneté.

Église à plan rectangulaire formée par trois vaisseaux en cinq sections, séparées par des arcs brisés sur piliers. Son style est mudéjar à partir du XVe siècle, mais elle a été rénovée et agrandie dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. La chapelle sacramentelle date d'environ 1727 et est située transversalement sur le côté gauche du bâtiment.

La chapelle du Christ de la Prison, se situe sur la place principale, actuellement appelée Plaza Antonio Mairena. Elle était en communication avec l'ancienne prison de la ville, de laquelle elle a pris son nom.